En l’espace de 6 mois, de nombreux changements sont en effet venus bouleverser l’organigramme de la station. En mars dernier, Jean-Luc Mano nommait en effet Ghislaine Ottenheimer à la direction de la rédcation de BFM. Suivaient ensuite les nominations d’Isabelle Amaraggi à la direction de la communication et de Stéphane Bigata aux postes de directeur artistique, de la production et des serives généraux. Si l’économie restera l’un des grands axes de la station, BFM entend s’imposer comme une station d’information au sens large du terme.
Tandis que dès la rentrée BFM se dotera d’un nouveau logo et donnera une priorité accrue aux émissions en direct, le budget annuel de la station connaitra une augmentation sensible, passant de 75 à 85 millions de francs. En terme d’audience, BFM vise les 3 points d’audience cumulée en Ile-de-France d’ici fin 2002, avec l’ouverture d’un studio parisien et un renforcement de la rédaction en province. Titulaire de 17 fréquences, BFM accordera une plus large place au sport, avec notamment la confirmation de Patrick Chêne qui prendra en charge un magazine sportif hebdomadaire, tandis que son site internet alimentera en reportages l’antenne de la station.
De même, de nouvelles voix sont attendues pour la rentrée. Ainsi, Daniel Bilalian prendra les rênes d’un magazine politique dominical, tandis que Bruno Roger-Petit, ex-présentateur du Journal de la Nuit sur France 2 proposera une émission hebdomadaire confrontant des étudiants des grandes écoles avec une personnalité du milieu économique. Enfin, Patrice Carmouze, ancien complice de Christophe Dechavanne, se verra confier une émission culturelle quotidienne diffusée en fin d’après-midi.
