Breathe

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En moins de six ans, Faith Hill a vendu plus de 11 millions de disques et placé 8 de ses titres en tête des Charts américains. C’est donc déjà une vedette confirmée de l’autre côté de l’atlantique. Audrey Faith Perry (son vrai nom), est née le 21 septembre 1967 à Jackson, dans le Mississipi. Toute petite, elle chantait lors des réunions de famille, et elle a formé son premier groupe à l’âge de 17 ans. Il jouait pendant les rodéos locaux. C’est donc tout naturellement que sa musique est fortement teintée de country. Elle est d’ailleurs fortement populaire dans les grandes plaines américaines (berceau de cette musique) parce qu’elle a su s’entourer de pointures de la country.

Elle a signé quelques titres qui ont fait les beaux jours des hits parade spécialisés et les albums « Take me as i am » et « It matters to me » ont été couronnés de succès. Mais, après avoir été opérée des cordes vocales, et dans l’optique d’une carrière internationale, elle a dû adopter un son plus pop et moins country, dans la veine d’une Shania Twain. La première étape de ce long et périlleux chemin prend la forme de l’album « Faith », qui se vend à plus de 4 millions d’exemplaires aux Etats Unis. L’histoire est en marche. En 2000, sort donc « Breathe ». 13 titres autobiographiques, d’une grande diversité. De la chanson titre à l’énergique « I got my baby » en passant par le puissant « If my heart had wings », ce 4ème opus est une vraie réussite. Elle y rend aussi des hommages. A son mari tout d’abord, Tim Mc Graw, avec qui elle chante en duo « Let’s make love ». A ses fans à travers « Bringing out on the Elvis » et au « Boss », Bruce Springsteen, dont elle reprend – de façon émouvante – « If i should fall behind ».

Un disque entré directement n°1 dans les classements US, ce qui lui vaudra bon nombre de récompenses (Billboard Awards, American Music Awards, Grammy Awards…) et d’être en couverture de tous les magazines américains. Elle a d’ailleurs décroché un contrat pour représenter l’une des plus grandes marques de cosmétiques du pays (« Cover Girl »).

Il ne lui reste donc plus qu’à conquérir la planète. Quand on allie, beauté, talent, chance, les espoirs les plus fous ne sont ils pas permis ?


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