Le concept vient d’Anthony Bourdain, déjà co-fondateur il y a vingt ans du groupe média Public Santé. Avec IA RADIO, il lance une plateforme audio inédite : quinze stations accessibles gratuitement, toutes alimentées par des créations musicales générées en continu par l’intelligence artificielle. Jazz, rap, lounge, opéra ou reggae… chaque style trouve sa place dans ce bouquet pensé pour accompagner chaque moment de la journée.
Une alternative aux radios traditionnelles
Selon son créateur, IA RADIO se positionne comme une réponse directe à l’uniformisation des playlists radiophoniques des radios musicales. Là où les stations « classiques » alternent tubes planétaires et découvertes calibrées et formatées, IA RADIO promet des morceaux entièrement nouveaux, qui n’existent nulle part ailleurs. L’idée : mêler la fluidité de l’écoute radio et la promesse de l’inédit propre aux plateformes numériques.
Les genres proposés vont du métal à la world music, en passant par la musique de guinguette, les slows ou le style crooner. Une offre volontairement large pour séduire aussi bien les curieux que les amateurs exigeants.
Une création musicale sans précédent
Chaque titre diffusé sur IA RADIO est unique, généré par un moteur algorithmique qui compose en temps réel. Ni reprise, ni sample, ni simple variation : une production musicale exclusive d’œuvres originales.
Pour Anthony Bourdain, il s’agit d’une évolution majeure : « L’intelligence artificielle permet aujourd’hui une création musicale continue, jamais directement exploitée dans le monde radiophonique. IA RADIO explore ce potentiel pour offrir une expérience émotionnelle renouvelée. C’est, pour moi, la confirmation que la radio 3.0 est déjà en marche. »
Une expérience accessible partout
Les quinze stations IA RADIO sont accessibles gratuitement 24h/24 et 7j/7 sur tous les supports numériques habituels, ainsi que sur le site www.iaradio.eu.
Un pari audacieux, qui soulève autant d’enthousiasme que de questions sur l’avenir de la création sonore et le rôle des radios traditionnelles face à cette nouvelle génération « algorithmique ».
